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CITE 2030 : une esquisse des modes de vie et d'usages futurs.... ? Ces recherches ont permis d'esquisser des modes de vie futurs selon deux axes individu/collectif faire/avoir et ont abouti à 4 scénarios: -PLANET CITY la ville du smart sweet home, -CASTEL CITY une ville forte active et attractive, -SELF CITY la ville réseau de villages solidaires et durables, -PATCHWORK CITY la ville aux quartiers spécialisés et privatisés Loin des projections de "comptoir" ce document de grande qualité offre des pistes de réflexion à tous ceux qui veulent imaginer les usages possibles dans nos villes dans 15 ans. |
Et si les abeilles Disparaissaient ?
Un scénario d'érosion de la biodiversité qui se déroule sous nos yeux à méditer. Il montre comment et la rapidité avec laquelle s'effondre un écosystème lorsqu'il est perturbé , içi par les pesticides. |
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VINGT ANS DE LUTTE CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE EN FRANCE :
Pour éviter des répercussions majeures sur la société humaine et les écosystèmes, l’augmentation doit être limitée à + 2° C. Il faut donc réduire les émissions, vite et fortement. Selon le CESE tout le débat est désormais de savoir comment limiter cette augmentation de la température moyenne du globe à l’horizon 2100. Ses recommandations répondent à trois grandes ambitions : -accompagner la société française vers la COP 21, -susciter la participation de tous à la politique d’atténuation, -encourager l’avènement d’une société bas-carbone Il estime notamment que la direction à suivre est celle d’une responsabilité croissante des territoires dans les émissions de GES et qu'il faut clarifier le rôle des politiques territoriales climatiques dans la Stratégie nationale bas carbone |
DEMOCRATIE PARTICIPATIVE :
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LES INVESTISSEURS MOBILISES DANS LE CHANGEMENT CLIMATIQUE
Depuis l’automne 2014, est apparu un mouvement coordonné d’investisseurs engagés dans la lutte contre le changement climatique par divers modes d’actions. En plein essor, il puise ses origines dans leurs pratiques d’investissement responsable. Cette mobilisation s’explique par deux facteurs principaux : la conviction de l’existence d’un risque carbone pour les entreprises les plus émettrices de gaz à effet de serre et une pression montante de la société civile. A retenir : -Plus de 550 investisseurs ont pris un engagement sur le climat à un titre ou un autre, -Les investisseurs éthiques qui refusent d’investir dans le charbon ou dans les entreprises les plus émettrices de gaz à effet de serre, ont été rejoints par les investisseurs responsables traditionnels, -Ces investisseurs utilisent des stratégies variées comme l’engagement actionnarial, l’exclusion, la sélection best-in-class ou l’investissement thématique pour diminuer les émissions financées par leurs portefeuilles, -Les deux principaux facteurs qui incitent les investisseurs à se mobiliser sont le risque carbone qui pèse sur les énergies fossiles et la pression de plus en plus forte de la société civile qui veut remplacer les énergies fossiles par des renouvelables. Souhaitons que ce mouvement se confirme au fil du temps et que les investisseurs français, notamment le Fonds de Reserve de nos Retraites y participent. |
"IL COUTE PLUS CHER AUX ENTREPRISES DE NE PAS ETRE ECOLOGIQUES QUE DE L'ETRE" A l'occasion de l'inauguration de son siège à Rueil-Malmaison, un bâtiment qui produit plus d’énergie qu’il n’en consomme, grâce notamment aux 4.000m² de panneaux photovoltaïques sur son toit le PDG du groupe, a expliqué le 20.03.20015 sur BFMTV, comment et pourquoi Unilever veut participer à la lutte contre le dérèglement climatique. Il estime notamment que "le coût pour les entreprises, si l'on ne s'attaque pas aux problèmes profonds de la société, vont augmenter". Puisse-t-il être entendu par toutes les sociétés en particulier les fabricants de pesticides ! ( cf supra) |
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LES ENERGIES RENOUVELABLES ELECTRIQUES Avec 19,5 % de l'électricité d'origine renouvelable début 2014, ces énergies ont pris leur place dans le paysage électrique français. Ainsi, l'ADEME soutien 54 projets, au titre des investissements d'avenir qui concernent les EnR électriques, les smarts grids et le stockage d'électricité. Jamais autant de projets d'installations ou de tests à l'échelle industrielle n'avaient vu le jour. Ils sont de nature diverses on peut citer : le raccordement des EnR dans le réseau électrique, la réappropriation de l'énergie par les citoyens, ou le développement de la géothermie dans les Caraïbes. Bien qu'il ne s'agisse que de projets on peut dans ces conditions espérer que les ENR nous permettrons de sortir d'un modèle énergétique carboné dont les effets dévastateurs sur notre environnement sont évidents et que l'objectif de 27% d'EnR en 2030 dans le mix énergétique européen, sera atteint. |
QUALITE de L'AIR INTERIEUR :
Nous passons 14 heures par jour en moyenne à notre domicile. L’air que nous y respirons n’est pas toujours de bonne qualité. En effet, les sources de pollution y sont nombreuses matériaux de construction, meubles, acariens, produits d’entretien, peintures...et si votre logement n’est pas suffisamment aéré, notamment du fait d'un dysfonctionnement de votre ventilation (bâtiments basse consommation étanches), les moisissures peuvent s'y développer rapidement. Elles peuvent avoir des effets néfastes sur la santé : allergies, irritations des voies respiratoires, maux de tête voire intoxications. Pour réduire ces risques le CSTB vient d'éditer un guide pratique qui permet de les traiter |